Le cerisier pousse à l’état sauvage au Japon mais il a aussi été cultivé et sélectionné depuis plusieurs siècles. Pendant longtemps, sous l’influence chinoise, le prunier a été considéré comme de première importance. Le cerisier a pris toute sa place au cours de la période Heian.
La fragilité de ses fleurs et la brièveté de sa floraison sont appréciées. Vu d’en bas, les arbres en fleur ressemblent à des nuages. La chute des fleurs évoque la neige. Ceci a captivé la sensibilité artistique des Japonais et correspond à leur goût pour les métaphores visuelles. Elle symbolise l’éphémère. Plus tard, la chute des fleurs est devenue une métaphore du guerrier fauché en pleine jeunesse.
La représentation de la fleur de cerisier, avec ses pétales entaillés, est moins stylisée et allégorique que celle de la fleur de prunier, de la pivoine, du camélia ou du lotus. Elle est essentielle dans la représentation japonaise de la nature et des paysages. La fleur est associée aux cours et chutes d’eau. Ces dessins ont été largement utilisés à la fin de la période Edo sur le kosode (l’ancêtre du kimono).
La fragilité de ses fleurs et la brièveté de sa floraison sont appréciées. Vu d’en bas, les arbres en fleur ressemblent à des nuages. La chute des fleurs évoque la neige. Ceci a captivé la sensibilité artistique des Japonais et correspond à leur goût pour les métaphores visuelles. Elle symbolise l’éphémère. Plus tard, la chute des fleurs est devenue une métaphore du guerrier fauché en pleine jeunesse.
La représentation de la fleur de cerisier, avec ses pétales entaillés, est moins stylisée et allégorique que celle de la fleur de prunier, de la pivoine, du camélia ou du lotus. Elle est essentielle dans la représentation japonaise de la nature et des paysages. La fleur est associée aux cours et chutes d’eau. Ces dessins ont été largement utilisés à la fin de la période Edo sur le kosode (l’ancêtre du kimono).
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